Ne jamais dire jamais
Tu me l’avais pourtant juré
Qu’un jour d’été
C’est moi que t’épouserai
Jamais une autre tu disais
Toujours moi
A la vie à la mort. Moi, toi
Enlacé pour des années
Tu me rappelais sans cesse
Notre premier baiser
Après la messe
Planqué derrière une haie
Puis les cheveux tout décoiffés
Mon soutien gorge dans la poche de ton pantalon
Le souffle coupé
Les parents dans le salon
C’était le premier câlin
En plein soleil au mois de juin
Dans ta chambre sans verrou
On s’éclaté comme des fous
Avec ta gueule d’ange
Tu les rendais toutes folles
Ton minois d’idole
Et tes manies étranges
Et c’est moi que tu as choisi
Je te détestais, pardi !
Comme tout ces minets
Qui toujours se la pétaient
Mais tu avais une guitare
Une voix de rock star
Sa m’a rendue maboule
Depuis de toi je suis soûle
Ne jamais dire jamais
Tu me l’avais pourtant juré
Qu’un jour d’été
C’est moi que t’épouserai
Des années passionnées
Au rythme des saisons
Des étreintes rythmées
A l’arrière des camions
C’était la folie
Au creux de tes bras
Les bagarres dans ton lit
Et tes refrains que je ne comprenais pas
Je t’applaudissais toujours
Toujours plus fort
Tu étais mon homme, mon amour
Je t’aimais plus à chaque accord
Tu es devenue grand
Tu avais des fans, des fous
On a mélangé notre sang
Et tout est devenue flou
Je m’évaporais
Me fondais en toi
Comme pour mieux t’aimais
Tu étais mon roi
Tu me promettais tant de choses
Un avenir tout rose
De l’argent, une maison, des enfants
Et nous, pour toujours amants
Ne jamais dire jamais
Tu me l’avais pourtant juré
Qu’un jour d’été
C’est moi que t’épouserai
Et un jour la cata
Les urgences tout ça
Tu étais trop crevé
Les concerts t’éreintés
Mais tu n’as pas arrêté
Tu es parti en tournée
Je ne t’ai pas suivis cette fois
Et c’était finis toi, moi
Elle avait des plus gros seins
Était plus jeune que toi
Chantait parfois
Et comprenait tes refrains
Alors tu es parti
Et c’est elle que t’épousa
En été, un samedi
Tu m’oublias…
Tu me l’avais pourtant juré
Qu’un jour d’été
C’est moi que t’épouserai
Jamais une autre tu disais
Toujours moi
A la vie à la mort. Moi, toi
Enlacé pour des années
Tu me rappelais sans cesse
Notre premier baiser
Après la messe
Planqué derrière une haie
Puis les cheveux tout décoiffés
Mon soutien gorge dans la poche de ton pantalon
Le souffle coupé
Les parents dans le salon
C’était le premier câlin
En plein soleil au mois de juin
Dans ta chambre sans verrou
On s’éclaté comme des fous
Avec ta gueule d’ange
Tu les rendais toutes folles
Ton minois d’idole
Et tes manies étranges
Et c’est moi que tu as choisi
Je te détestais, pardi !
Comme tout ces minets
Qui toujours se la pétaient
Mais tu avais une guitare
Une voix de rock star
Sa m’a rendue maboule
Depuis de toi je suis soûle
Ne jamais dire jamais
Tu me l’avais pourtant juré
Qu’un jour d’été
C’est moi que t’épouserai
Des années passionnées
Au rythme des saisons
Des étreintes rythmées
A l’arrière des camions
C’était la folie
Au creux de tes bras
Les bagarres dans ton lit
Et tes refrains que je ne comprenais pas
Je t’applaudissais toujours
Toujours plus fort
Tu étais mon homme, mon amour
Je t’aimais plus à chaque accord
Tu es devenue grand
Tu avais des fans, des fous
On a mélangé notre sang
Et tout est devenue flou
Je m’évaporais
Me fondais en toi
Comme pour mieux t’aimais
Tu étais mon roi
Tu me promettais tant de choses
Un avenir tout rose
De l’argent, une maison, des enfants
Et nous, pour toujours amants
Ne jamais dire jamais
Tu me l’avais pourtant juré
Qu’un jour d’été
C’est moi que t’épouserai
Et un jour la cata
Les urgences tout ça
Tu étais trop crevé
Les concerts t’éreintés
Mais tu n’as pas arrêté
Tu es parti en tournée
Je ne t’ai pas suivis cette fois
Et c’était finis toi, moi
Elle avait des plus gros seins
Était plus jeune que toi
Chantait parfois
Et comprenait tes refrains
Alors tu es parti
Et c’est elle que t’épousa
En été, un samedi
Tu m’oublias…